Pentcho Valev
2016-12-02 06:13:06 UTC
Temps de se débarrasser des élucubrations des einsteiniens:
http://www.telerama.fr/monde/le-physicien-thibault-damour-einstein-a-change-le-concept-du-temps,128939.php
Thibault Damour : "La lumière se déplace comme une onde à la surface de l'eau. Les crêtes et creux de cette onde se déplacent dans l'espace à 300 000 kilomètres par seconde. Si je suis au repos, je vois l'onde passer. Mais si j'essaie d'aller aussi vite qu'elle, je devrais ne plus la voir bouger. Paradoxe, la lumière s'éloigne pourtant toujours de moi à 300 000 kilomètres par seconde ! [...] Einstein a changé le concept de temps ! Ni Lorentz ni Poincaré n'ont compris cela. Quand je suis dans un train en mouvement, mon temps n'est pas le même que celui d'un homme debout sur le quai. Voilà ce qu'a perçu Einstein."
http://www.telerama.fr/monde/le-physicien-thibault-damour-avec-einstein-l-espace-devient-de-la-gelee,129054.php
Thibault Damour : "Dans la théorie d'Einstein, si vous placez une horloge à la surface de la Terre et une autre dans le ciel, elles ne tictaquent plus à la même vitesse. Le temps est ralenti par le champ de gravitation. Si vous poussez les choses et comprimez une masse, cela devient plus violent encore. Comprimons le Soleil jusqu'à lui donner un rayon de 3 kilomètres : le temps ne s'écoule plus à sa surface ! Il s'arrête ! Dans l'exemple des jumeaux de la relativité restreinte (celui qui voyage à grande vitesse vieillit moins vite que celui resté sur Terre), la vitesse ralentit le temps. Mais la masse ralentit aussi le temps. Et peut même l'arrêter !"
http://www.lepoint.fr/societe/le-createur-est-une-souris-de-laboratoire-12-07-2012-1697206_23.php
Thibault Damour : "Or, en physique, au moins depuis Einstein, le passage du temps est une illusion. Nous pouvons, de façon quasi instantanée, voyager dans le temps ; faire par exemple un saut de millions d'années dans le "futur". Cette prédiction de la théorie de la relativité a été vérifiée expérimentalement en mettant des horloges dans des avions volant autour de la Terre ; à leur retour, elles ne marquaient pas la même heure que celles restées à terre. C'est ce qui explique aussi pourquoi nous recevons sur Terre des particules élémentaires à la durée de vie si courte qu'elles ne devraient jamais parvenir jusqu'à nous. Si le temps n'existe pas, comme le suggère la science, cela peut changer notre façon d'appréhender la mort... Bien sûr, cela n'évacue pas la réalité phénoménologique des traces du passage du temps, car, dans l'espace-temps einsteinien intemporel, il existe des copies de nous jeunes et des copies de nous vieux. On peut estimer que la science ne nous donne pas accès à "la réalité", mais seulement à un modèle mathématique de la réalité, mais on peut aussi (ce que je préfère) suivre ses suggestions quand elles indiquent une nouvelle vision philosophique de la réalité. La science, loin d'évacuer le mystère existentiel, ne fait que l'approfondir."
http://guillemant.net/index.php?cate=articles&part=physique_temps&page=Ce_quen_disent_les_physiciens.htm
Etienne Klein : "D'où ma proposition, sans attendre que les physiciens accordent leurs violons, ne faudrait-il pas bricoler d'urgence une habile synthèse entre le présentisme et l'univers bloc, les mélanger astucieusement pour donner corps à l'idée que le futur existe déjà, que c'est une authentique réalité, mais que cette réalité n'est pas complètement configurée, pas intégralement définie, qu'il y a encore place pour du jeu, des espaces pour la volonté, le désir, l'invention..."
http://o.castera.free.fr/pdf/La_relativite.pdf
Jean-Marc Lévy-Leblond: "Un objet de longueur Lo dans son propre référentiel sera, dans un autre référentiel, repéré différemment et se verra attribuer une longueur inférieure L. Mais, comme dans le cas spatial, c'est là un effet de parallaxe : ce n'est que si les axes spatiotemporels de l'objet coincident avec ceux de la règle utilisée que l'on peut affirmer mesurer la longueur propre de l'objet. La dilatation des temps s'explique de façon analogue. Ces effets sont donc parfaitement "réels" tout en ne concernant que des "apparences"."
Tout ça ce sont des conséquences idiotes, déduites validement ou pas, du faux principe de la constance de la vitesse de la lumière :
http://www.amazon.ca/Oeuvres-compl%C3%A8tes-Jacques-Maritain/dp/2850492752
Jacques Maritain, Oeuvres complètes, Volume 3, p. 285: "Il ne reste plus alors qu'à avouer que la théorie [d'Einstein], si l'on donnait une signification ontologiquement réelle aux entités qu'elle met en jeu, comporterait des absurdités; entièrement logique et cohérente comme système hypothético-déductif et synthèse mathématique des phénomènes, elle n'est pas, malgré les prétensions de ses partisans, une philosophie de la nature, parce que le principe de la constance de la vitesse de la lumière, sur lequel elle s'appuie, ne peut pas être ontologiquement vrai." p. 300: "La science, même la plus mélangée d'hypothétique et de probable, même la moins élevée en intellectualité, la science est chose bonne en elle-même, et qui détient une étincelle divine. On a vu toutefois ce qu'elle peut produire, lorsqu'elle est employée par l'homme, en fait de ruines matérielles et de destructions sanglantes. Les désastres qu'en usant d'elle les apprentis sorciers peuvent provoquer dans l'ordre de l'esprit, pour être invisibles, ne sont pas moins énormes."
Les profiteurs se rendent compte du résultat de leur activité mais... l'argent avant tout :
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http://www7.inra.fr/dpenv/pdf/LevyLeblondC56.pdf
Jean-Marc Lévy-Leblond: "La science souffre d'une forte perte de crédit, au sens propre comme au sens figuré : son soutien politique et économique, comme sa réputation intellectuelle et culturelle connaissent une crise grave. [...] Il est peut-être trop tard. Rien ne prouve, je le dis avec quelque gravité, que nous soyons capables d'opérer aujourd'hui ces nécessaires mutations. L'histoire, précisément, nous montre que, dans l'histoire des civilisations, les grands épisodes scientifiques sont terminés... [...] Rien ne garantit donc que dans les siècles à venir, notre civilisation, désormais mondiale, continue à garder à la science en tant que telle la place qu'elle a eue pendant quelques siècles."
http://archipope.over-blog.com/article-12278372.html
"Nous nous trouvons dans une période de mutation extrêmement profonde. Nous sommes en effet à la fin de la science telle que l'Occident l'a connue", tel est constat actuel que dresse Jean-Marc Lévy-Leblond, physicien théoricien, épistémologue et directeur des collections scientifiques des Editions du Seuil."
Pentcho Valev
http://www.telerama.fr/monde/le-physicien-thibault-damour-einstein-a-change-le-concept-du-temps,128939.php
Thibault Damour : "La lumière se déplace comme une onde à la surface de l'eau. Les crêtes et creux de cette onde se déplacent dans l'espace à 300 000 kilomètres par seconde. Si je suis au repos, je vois l'onde passer. Mais si j'essaie d'aller aussi vite qu'elle, je devrais ne plus la voir bouger. Paradoxe, la lumière s'éloigne pourtant toujours de moi à 300 000 kilomètres par seconde ! [...] Einstein a changé le concept de temps ! Ni Lorentz ni Poincaré n'ont compris cela. Quand je suis dans un train en mouvement, mon temps n'est pas le même que celui d'un homme debout sur le quai. Voilà ce qu'a perçu Einstein."
http://www.telerama.fr/monde/le-physicien-thibault-damour-avec-einstein-l-espace-devient-de-la-gelee,129054.php
Thibault Damour : "Dans la théorie d'Einstein, si vous placez une horloge à la surface de la Terre et une autre dans le ciel, elles ne tictaquent plus à la même vitesse. Le temps est ralenti par le champ de gravitation. Si vous poussez les choses et comprimez une masse, cela devient plus violent encore. Comprimons le Soleil jusqu'à lui donner un rayon de 3 kilomètres : le temps ne s'écoule plus à sa surface ! Il s'arrête ! Dans l'exemple des jumeaux de la relativité restreinte (celui qui voyage à grande vitesse vieillit moins vite que celui resté sur Terre), la vitesse ralentit le temps. Mais la masse ralentit aussi le temps. Et peut même l'arrêter !"
http://www.lepoint.fr/societe/le-createur-est-une-souris-de-laboratoire-12-07-2012-1697206_23.php
Thibault Damour : "Or, en physique, au moins depuis Einstein, le passage du temps est une illusion. Nous pouvons, de façon quasi instantanée, voyager dans le temps ; faire par exemple un saut de millions d'années dans le "futur". Cette prédiction de la théorie de la relativité a été vérifiée expérimentalement en mettant des horloges dans des avions volant autour de la Terre ; à leur retour, elles ne marquaient pas la même heure que celles restées à terre. C'est ce qui explique aussi pourquoi nous recevons sur Terre des particules élémentaires à la durée de vie si courte qu'elles ne devraient jamais parvenir jusqu'à nous. Si le temps n'existe pas, comme le suggère la science, cela peut changer notre façon d'appréhender la mort... Bien sûr, cela n'évacue pas la réalité phénoménologique des traces du passage du temps, car, dans l'espace-temps einsteinien intemporel, il existe des copies de nous jeunes et des copies de nous vieux. On peut estimer que la science ne nous donne pas accès à "la réalité", mais seulement à un modèle mathématique de la réalité, mais on peut aussi (ce que je préfère) suivre ses suggestions quand elles indiquent une nouvelle vision philosophique de la réalité. La science, loin d'évacuer le mystère existentiel, ne fait que l'approfondir."
http://guillemant.net/index.php?cate=articles&part=physique_temps&page=Ce_quen_disent_les_physiciens.htm
Etienne Klein : "D'où ma proposition, sans attendre que les physiciens accordent leurs violons, ne faudrait-il pas bricoler d'urgence une habile synthèse entre le présentisme et l'univers bloc, les mélanger astucieusement pour donner corps à l'idée que le futur existe déjà, que c'est une authentique réalité, mais que cette réalité n'est pas complètement configurée, pas intégralement définie, qu'il y a encore place pour du jeu, des espaces pour la volonté, le désir, l'invention..."
http://o.castera.free.fr/pdf/La_relativite.pdf
Jean-Marc Lévy-Leblond: "Un objet de longueur Lo dans son propre référentiel sera, dans un autre référentiel, repéré différemment et se verra attribuer une longueur inférieure L. Mais, comme dans le cas spatial, c'est là un effet de parallaxe : ce n'est que si les axes spatiotemporels de l'objet coincident avec ceux de la règle utilisée que l'on peut affirmer mesurer la longueur propre de l'objet. La dilatation des temps s'explique de façon analogue. Ces effets sont donc parfaitement "réels" tout en ne concernant que des "apparences"."
Tout ça ce sont des conséquences idiotes, déduites validement ou pas, du faux principe de la constance de la vitesse de la lumière :
http://www.amazon.ca/Oeuvres-compl%C3%A8tes-Jacques-Maritain/dp/2850492752
Jacques Maritain, Oeuvres complètes, Volume 3, p. 285: "Il ne reste plus alors qu'à avouer que la théorie [d'Einstein], si l'on donnait une signification ontologiquement réelle aux entités qu'elle met en jeu, comporterait des absurdités; entièrement logique et cohérente comme système hypothético-déductif et synthèse mathématique des phénomènes, elle n'est pas, malgré les prétensions de ses partisans, une philosophie de la nature, parce que le principe de la constance de la vitesse de la lumière, sur lequel elle s'appuie, ne peut pas être ontologiquement vrai." p. 300: "La science, même la plus mélangée d'hypothétique et de probable, même la moins élevée en intellectualité, la science est chose bonne en elle-même, et qui détient une étincelle divine. On a vu toutefois ce qu'elle peut produire, lorsqu'elle est employée par l'homme, en fait de ruines matérielles et de destructions sanglantes. Les désastres qu'en usant d'elle les apprentis sorciers peuvent provoquer dans l'ordre de l'esprit, pour être invisibles, ne sont pas moins énormes."
Les profiteurs se rendent compte du résultat de leur activité mais... l'argent avant tout :
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http://www7.inra.fr/dpenv/pdf/LevyLeblondC56.pdf
Jean-Marc Lévy-Leblond: "La science souffre d'une forte perte de crédit, au sens propre comme au sens figuré : son soutien politique et économique, comme sa réputation intellectuelle et culturelle connaissent une crise grave. [...] Il est peut-être trop tard. Rien ne prouve, je le dis avec quelque gravité, que nous soyons capables d'opérer aujourd'hui ces nécessaires mutations. L'histoire, précisément, nous montre que, dans l'histoire des civilisations, les grands épisodes scientifiques sont terminés... [...] Rien ne garantit donc que dans les siècles à venir, notre civilisation, désormais mondiale, continue à garder à la science en tant que telle la place qu'elle a eue pendant quelques siècles."
http://archipope.over-blog.com/article-12278372.html
"Nous nous trouvons dans une période de mutation extrêmement profonde. Nous sommes en effet à la fin de la science telle que l'Occident l'a connue", tel est constat actuel que dresse Jean-Marc Lévy-Leblond, physicien théoricien, épistémologue et directeur des collections scientifiques des Editions du Seuil."
Pentcho Valev